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25 décembre 2008 4 25 /12 /décembre /2008 05:46



La prépa est maintenant, comme la fac, divisée en semestres : pas de conseil de classe, donc, pour ce premier trimestre, mais une réunion officieuse des professeurs, après laquelle ceux-ci ont parlé à quelques élèves en particulier.

Mais cette fin de ce premier trimestre, même si elle n'est pas 'matérialisée' par un conseil de classe, on la ressent en prépa. Par exemple, le 1er cycle des khôlles s'est achevé. Petit bilan de la 1ère série de khôlles donc, puisque la 2ème a pour moi déjà commencé, joyeusement inaugurée avec une khôlle d'anglais !

(Je suis désolée pour la longueur, il va vraiment falloir que j'apprenne à être plus synthétique !)


Philosophie : toute première khôlle, évoquée dans un article datant du début de l'année. Prof super sympa, sujet intéressant (« Perdre son temps »), et 12 à l'arrivée. Bref, une bonne khôlle, même si je ne sais pas encore où je me situe.

Anglais : deuxième khôlle, évoquée dans le même article que la khôlle de philosophie. Préparation stressante sur une demi-journée, une dizaine d'heures passées sur un texte qui me semblait franchement difficile et un 17 pour récompenser le tout. Le prof a été impressionné et je me suis retrouvée, au final, avec la meilleure note, donc pas de quoi me plaindre !

Français : khôlle passée après 3h de cours de français (problème d'emploi du temps), donc 4h30 de français à la suite, pas franchement des conditions idéales. Tous les poèmes sont baroques, je tombe sur un poème à thème religieux, sauf que j'ai séché le cathéchisme, et que j'ignorais qu'il a fait nuit en plein jour (\o/) lors de la crucifixion du Christ. Et comme la conclusion du poème portait entièrement là-dessus, je me retrouve à faire des erreurs d'interprétation énormes. Bon, à la rigueur, je ne pourrais en vouloir qu'à moi-même. Sauf que la prof de français m'interrompt régulièrement pendant mes 20 mn d'exposé, pour s'amuser à relever mes contre-sens, alors qu'il y a ensuite un entretien de 10 mn fait pour ça. Forcément, ça me met encore plus mal à l'aise (« Ah, c'est votre deuxième contre-sens. [Rire de la prof.] Mais je ne suis pas très optimiste : si je dis « deuxième », c'est qu'il va y en avoir un troisième ! »). Bref, une torture de 30 mn, au terme de laquelle mon moral est bien bien en-dessous de zéro, et la prof regarde ses notes d'un air gêné : « Hmmm... je ne peux vraiment pas aller au-dessus de 9, hein... » Bon, je me dis que ç'aurait pu être bien pire. Une khôlle pas franchement brillante, donc, à peine à la moyenne de la classe. Mais j'aime tellement le français (et la poésie) que ça me gonfle réellement de ne pas réussir dans cette matière.

Géographie : 1 semaine de préparation sur « Les régions transfrontalières en Europe : étude de cas ». Sujet plutôt facile par rapport à beaucoup d'autres, puisqu'on avait commencé en classe l'analyse du sujet, et qu'en plus la prof m'a donné une piste énorme à l'oral (ça s'appelle de la pitié, je crois ^^). Sauf que, débile que je suis, je ne pense pas à demander à la prof si « cas » est entendu au pluriel ou au singulier. Du coup, j'imagine qu'il s'agit de plusieurs cas, et je fais un truc beaucoup trop vaste. Je finis ma khôlle la veille au soir, complètement crevée, en ayant juste pour but de boucler le truc, pas de faire un exposé génial. Notre khôlleur de géo (qui n'est donc pas la prof \o/) est beau ET sympa, donc après mon exposé, il reprend gentiment ce que j'ai dit en m'expliquant que ce que j'ai fait, ce n'est pas une étude de cas, et il me pose quelques questions purement géographiques auxquelles je préfère ne même pas répondre, pour éviter de sortir des absurdités qui me catalogeraient définitivement au rang d'imbécile profonde. Je réponds à deux/trois questions quand même (merci Capital et les vacances au Pays basque), et je récolte un 10, dont je me satisfais laaaargement, même si je pense que la géographie est une matière relativement bien notée en khôlle.

Histoire : une heure de préparation sur « La chute du Second Empire est-elle une fin programmée ? » La prof m'indique, en me donnant le sujet, qu'il s'agit d'un bilan, et donc qu'il faut parler de la fin du Second Empire. Sachant que l'on n'a pas encore étudié sa chute, je me dis : youpi. J'ai l'idée complètement idiote d'aller préparer ma khôlle au cdi. Résultat, je me retrouve à côté de lycéens qui braillent sans arrêt parce qu'ils préparent leurs TPE, et la charmante dame du CDI, qui n'hésite pas à nous invectiver dès qu'on parle un peu trop fort, ne leur dit rien. Je n'ai pas le courage de pousser une gueulante, alors je reste totalement tétanisée devant mon sujet. Je me dis que j'aurai 5. Pendant 15 mn, je ne peux pas m'empêcher de me dire à quel point cette khôlle va être un futur massacre. Ensuite, je gratte frénétiquement (1h de préparation, ça passe très, très vite) : mon plan ne vaut rien, je tourne les pages de mon bouquin pour y trouver quelques idées (et quelques dates), et je me rends devant la salle de khôlle. La prof m'attend dans ce couloir glacial qui nous sert de salle de khôlle, je parle d'une voix claire mais elle a l'air de profondément s'ennuyer. Je tiens 15/16 mn. La prof sort de sa léthargie : « C'était...  (pitoyable ? indigne d'une hypokhâgneuse ? une raison suffisante pour songer au suicide ?) bien ! » Sur le coup, je pense qu'elle se moque de moi. Mais non, elle le pense vraiment. Bim, pression qui retombe, d'un coup. Je souris nerveusement, je me force à ne pas regarder la prof pour éviter de rire, tellement ça me semble surréaliste. Elle me dit que ça se voit que j'ai beaucoup bossé. (...) Je lui donne le nom de l'unique bouquin que j'ai lu, elle me dit qu'il faut lire plus, que j'ai de « grandes capacités ». Intérieurement, je suis toujours absolument morte de rire, et je fais de mon mieux pour le cacher. Je n'ai jamais vu une prof aussi adorable en khôlle : la reprise dure à peine quelques minutes, puis elle me pose des questions sur moi, sur les autres khôlles (« Quoi, vous avez eu 17 en anglais ?! Vous êtes bilingue ?? »), sur mon orientation. Au final je ressors en ayant l'impression d'être la plus grande des impostrices (ça se dit, ça ?), mais soulagée. 14. Impensable. Mais la note, ce n'était pas tellement ce qui m'importe : la prof m'a vraiment poussée à aller plus loin, à m'intéresser réellement à sa matière. C'est ce déclic qui fait qu'aujourd'hui, je n'arrive plus à lâcher le bouquin d'un historien sur la Commune, alors qu'on est à peine au début du cours, et que les vacances viennent juste de commencer.

Pas de khôlle en Latin (il paraît que ça va nous tomber dessus au 2ème trimestre, génial...), ni en Allemand, pour cause de non-autorisation de Mme la Proviseure, parce qu'on est moins de 10 élèves (du coup, quelques interrogations orales notées, mais pas de vraies khôlles).


Juste avant le concours blanc, j'ai passé ma deuxième khôlle d'Anglais, beaucoup plus ardue que la première : seulement une heure de préparation, sur un texte relativement long et truffé de mots qui m'étaient complètement inconnus. Résultat : 30 mn de lecture, le dico à la main, et à peine 20/25mn de prise de notes : j'arrive devant le prof en ayant même pas une copie double de notes, avec une introduction et une conclusion complètement bâclées. Je tiens évidemment moins de 20 mn, et le prof a l'air effondré. Je comprends à la fin qu'il s'attendait, après ma première khôlle, à ce que je ponde un truc absolument génial. J'ai donc dû lui expliquer que la première khôlle, je n'y avais pas passé 1h mais 10, et que j'avais donc pu travailler le texte en profondeur. Je m'en tire avec 14, après avoir eu de grosses frayeurs.

Maintenant, j'ai un peu peur pour l'Histoire : si la prof se souvient de ma première khôlle, elle risque d'être elle aussi déçue ! (Moralité : Mieux vaut commencer bas et finir haut que l'inverse. ^^ Enfin je n'ai pas encore fini si bas, mais ça ne saurait tarder...)


J'ai choisi de faire un bilan de mes khôlles plutôt que de mes DST, d'abord parce que j'ai fait relativement peu de DST (sans compter le concours blanc, évidemment), et ensuite parce que c'était un des éléments de la prépa qui m'effrayaient le plus. Si au bac (ahhhh, le bac...), je m'en suis bien tirée côté oraux, j'ai toujours détesté ça : je parle naturellement très vite, j'articule peu, et je dois vraiment faire des efforts pour m'exprimer correctement à l'oral (correctement = d'une façon scolaire). A l'écrit, on prend le temps de peser ses idées, de réfléchir à la façon dont on va les exprimer, et on n'a pas tout de suite de jugement sur ces idées. A l'oral, il faut faire preuve de beaucoup plus de rapidité, il faut savoir répondre à un interlocuteur et supporter son jugement immédiat sur ce qu'on vient de dire. Une appréciation cassante à l'écrit me touchera toujours moins qu'une remarque cassante à l'oral. Je crois même que l'idée de passer une examen oral dans toutes les matières et à tous les trimestres était presque pour moi une raison suffisante pour laisser tomber carrément l'hypothèse d'une prépa. Depuis, mon avis a beaucoup changé. (Je précise encore une fois que ceci n'est qu'un témoignage : je ne dis pas que les khôlles se passent de la même façon dans tous les lycées, je pense même que l'expérience peut-être totalement différente selon les élèves.)

D'abord, la khôlle n'est pas un moment de 'cassage' d'élève en direct : c'est au contraire un moment d'échange privilégié, puisque pour une fois, l'élève a le professeur seul pour lui. Bon, d'accord, l'élève peut aussi se faire descendre, mais au moins, lui seul entend la critique. Avoir un professeur pour soi (peu importe qu'on apprécie ou non le professeur), c'est quelque chose d'inestimable : c'est souvent plus approfondi qu'une simple correction de copie, et ça permet surtout de poser des questions qu'on ne poserait pas forcément en cours. Pour le moment, à part lors de ma khôlle de français, aucune de mes khôlles n'a été vraiment pénible, réussie ou non : j'ai vraiment l'impression d'avoir appris quelque chose, d'avoir progressé en sortant d'une khôlle (au bac, on se contente souvent de nous demander de prouver qu'on a vaguement bossé pendant l'année, voire qu'on a bien tout appris par coeur, comme aux EAF).

Ensuite, même si je déteste l'oral, je dois bien admettre que la khôlle est une occasion géniale de s'entraîner à parler à l'oral, ce qui est utile aux concours, certes, mais aussi d'une façon plus générale. Je commence à apprendre à m'affirmer à l'oral, et ça peut aider à convaincre un auditoire : par exemple, en histoire, la prof m'a dit que j'avais l'air sûre de moi quand je parlais, et que c'était très bien. Pourtant, pendant 20 mn, je n'ai pas arrêté de penser que je disais vraiment des conneries monumentales, surtout en voyant le visage de la prof, complètement blasée. Du coup, même si moi, je ne croyais pas à ce que je disais, j'avais l'air d'y croire, et ça fait meilleure impression que de dire des choses justes en ayant l'air de ne pas être sûr qu'on devrait les dire. Moi qui compte passer des concours (pas celui de l'ENS, ni des IEP, ni des écoles de journalisme, ni des écoles de commerce ^^) avec des épreuves orales, je sais que mon expérience de l'oral, même si elle reste vraiment modeste, me sera sûrement utile, surtout face à des élèves qui n'auront peut-être jamais passé d'autre oral dans leur vie que ceux du bac.

Enfin, une khôlle, ce n'est pas si stressant. Encore une fois, je parle uniquement pour moi. Mais je trouve que la seule partie réellent stressante de la khôlle, c'est la préparation, quand celle-ci ne dure qu'une heure : je passe souvent plus de temps à penser que je vais me ramasser qu'à préparer la khôlle elle-même. Ensuite, une fois devant le professeur, la pression retombe dès que je dis les premiers mots de mon exposé. Je sais que je vais avoir mes 20 mn à moi, où personne (en théorie...) ne m'interrompra, et que la khôlle s'est jouée en grande partie lors de la préparation. Quelque part, parler dans le silence pendant 20 mn me calme plus qu'autre chose, même si l'attitude du professeur reste toujours un élément inquiétant. (Mais en général, c'est très peu révélateur (sauf quand le prof vous interrompt 4 fois pour vous dire que vous racontez n'importe quoi, évidemment...) : les professeurs regardent souvent ailleurs quand ils ne prennent pas de notes, et ils ont parfois l'air de s'ennuyer, alors qu'au final on peut être très agréablement surpris de ce qu'ils ont pensé de notre prestation, cf ma khôlle d'histoire !) Parfois, encore moins de stress pendant la reprise : certains professeurs ne font pas de reprise (comme ma prof d'histoire), ou bien celle-ci est très succinte. Dans d'autres cas, il s'agit d'un véritable entretien, mais il faut voir ça comme un échange plus que comme un risque de tomber dans le piège du méchant professeur (mon prof d'anglais met quasiment tous les points de l'entretien dès qu'il voit qu'on a compris ses questions et qu'on est capable de défendre ou de rectifier ce qu'on a dit dans notre exposé).


Bref, je m'étale, comme d'habitude, mais le sujet me tenait à coeur : ce n'est pas parce que vous craignez particulièrement les oraux que vous vous planterez en khôlle ! Bien sûr, ça reste problématique pour les langues, où le blocage est souvent le plus fort (si j'avais imaginé un jour parler pendant 30 mn uniquement en anglais devant un prof...!), mais on finit par s'améliorer à condition d'y mettre de la bonne volonté : il faut oser se lancer, tant pis pour le ridicule. Au moins, le prof verra que vous avez fait un effort, même si c'est pas encore tout à fait ça.

Pour moi, la khôlle reste surtout un bon moyen de faire taire les mauvaises langues qui me répètent à longueur de journée que vu mon débit, ça doit être l'horreur quand j'essaie de m'exprimer devant un prof ! :D

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commentaires

A
Salut !<br /> En tant que future hypokhagneuse, ton blog m'interesse pas mal ...<br /> Je ne crois pas avoir vu dans quel lycée tu faisais ta prépa, est-il possible de le savoir ou tu préfères garder l'anonymat ?<br /> J'ai une idée de l'ambiance et du niveau grâce à tes articles, mais comme j'aimerais tenter une hypo "prestigieuse", j'aurai aimer savoir si je dois m'attendre à ce genre de truc ou plus de pression ... Merci beaucoup !
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C
<br /> Je suis au lycée Victor Hugo, à Paris. Pas vraiment ce que tu appelles une "hypo prestigieuse", donc.<br /> Honnêtement, je serais incapable de répondre à ta question : je n'ai que des échos de temps en temps d'amis à H4, par exemple, et je ne sais pas exactement ce qu'il en est niveau ambiance.<br /> Question niveau, à mon avis c'est beaucoup plus élevé, et surtout moins hétérogène : dans ma classe, il y a vraiment de tout : de très bons élèves qui n'ont rien à envier à ceux de LLG ou H4, des<br /> élèves moyens, et des élèves qui galèrent. Dans les grands lycées, j'ai l'impression qu'il n'y a presque que des ex-1ers de classe, donc imagine le niveau qui en résulte...<br /> Je te conseille de parcourir d'autres blogs, il y a par exemple pas mal d'élèves de Fénelon sur le net. ;)<br /> <br /> <br />
S
Eh bien, que d'angoisses ! Je suis sûr que tu t'en tires bien parce que tu es doué(e?)... En tout cas, la narration de tes péripéties m'excitent et m'incitent à intégrer l'hypokhâgne.<br /> <br /> Bonne année 2009 et bonne continuation !
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C
<br /> "Douée", je ne sais pas si c'est le bon terme... Je m'en sors bien parce que je ne suis pas dans un "graaaand lycée", je pense, et parce que les facilités peuvent toujours jouer un rôle, même<br /> infime, en prépa. Et aussi parce que je n'ai pas le stress du passage en khâgne : cette année n'a pas de réel enjeu pour moi, je me fiche d'être 1ère ou 48ème, du moment qu'on m'accorde mon<br /> équivalence à l'université ! (bon, en réalité, je préfèrerais être 1ère que 48ème :P)<br /> Bonne année à toi aussi et bon courage pour le bac !<br /> <br /> <br />
O
J'ai une petite question ^^: peut-on prétendre à une HK lorsque nous sommes en TL; à 48h de la rentrée que et nous n'avons tjs pas fait notre explication de texte en philo, que nous avons lu la moitié des Liaisons dangereuses (seulement) et que nous n'avons fait aucune fiche dans aucun cours pour le bac blanc?<br /> Je précise que ceci est mon cas et que j'ai très envie d'aller en HK... mais c'est effrayant de se dire ça qd l'on voit que je ne fiche rien déjà en Terminale...
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C
<br /> J'aurais tendance à répondre : OUI ! ^^ (Bon en revanche, ne pas avoir lu les Liaisons dangereuses, ça c'est criminel, mais le reste est pardonnable...)<br /> Plus sérieusement, les élèves que les prépas recherchent tout particulièrement sont ceux qui, au lycée, réussissent sans pour autant se donner à fond : si tu es déjà au maximum de tes capacités en<br /> TL, que vas-tu faire en HK, quand le boulot va être multiplié par 10 ?<br /> En gros, tes méthodes de travail ne regardent que toi du moment que les résultats sont là.<br /> ;)<br /> <br /> <br />
S
Haa ton blog est il sensé me faire rever . Rever de pouvoir atteindre un enseignement de haut niveau,d'etudier ce qui m'interesse. Merci pour ce blog (si si =D ) dont je prend plaisir à lire.
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C
<br /> Je ne pense pas que mon blog soit censé "faire rêver", en tout cas ça n'est pas sa vocation ! Je ne vois pas l'intérêt de faire croire que tout est rose en prépa, vu que ce n'est pas le cas, tout<br /> simplement...<br /> Bon courage pour ton admission !<br /> <br /> <br />
C
Je viens de découvrir ton blog par lien interposé =D <br /> <br /> Arf, je crois que le concours blanc a été vécu comme une torture par à peu près tout le monde en HK. M'enfin je ne sais pas s'il aurait mieux valu l'avoir après les vacances ... En tout cas bonnes vacances et bon courage pour la deuxième fournée de khôlles (qui arrive tôt, toujours trop tôt...) !
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C
<br /> Au moins, on aurait eu deux semaines pour réviser ! Enfin je n'aurais personnellement pas forcément mieux réussi, mais au moins je n'en aurais voulu qu'à moi-même !<br /> Arg, 'me parle pas de la prochaine série de khôlles...<br /> <br /> <br />